ONG WSM - Programme 2014-2016 Afrique de l'Ouest: La Protection Sociale, un droit pour les travailleurs/euses précarisés d'Afrique de l

La Protection Sociale, un droit pour les travailleurs/euses précarisés d'Afrique de l'Ouest Promouvoir le droit à la protection sociale des travailleurs à statut précaire, de l'économie informelle, des populations rurales et autres groupes vulnérables via cinq réseaux nationaux (Bénin, Burkina Faso, Guinée, Mali et Togo) de 15 organisations partenaires.

Promouvoir le droit à la protection sociale des travailleurs à statut précaire, de l'économie informelle, des populations rurales et autres groupes vulnérables via cinq réseaux nationaux (Bénin, Burkina Faso, Guinée, Mali et Togo) de 15 organisations partenaires.

Voir le rapport final du volet "Bénin/Afrique de l'Ouest" du programme 2014-2016 de WSM. Ce rapport final est joint à cette fiche (cfr le volet "Bénin/ Afrique de l'Ouest" ! ). Ce rapport synthétise comme suit les principaux résultats atteints entre autre au BKF: "Résultats globaux du programme 2014-2016 L’objectif spécifique est presque atteint avec un degré d’atteinte sur base des indicateurs d’impact de près de 90%. Cet objectif a été atteint avec 98.24% du budget 2014-2016 dépensé. L’atteinte de cet objectif se traduit dans le concret par :  Les emplois de 22.745 travailleurs/euses à statut précaire ont été sauvegardés et défendus (euses) grâce à la conclusion des accords et des négociations/révisions des conventions collectives du travail. (Burkina Faso, Togo, Guinée)  418 jeunes travailleurs/euses de l’économie informelle, travailleurs à statut précaire ont (accès à) un emploi générateur de revenu par la formation professionnelle (Bénin, Burkina Faso et Mali).  Au moins 65% (14.215) des 21.870 producteurs ruraux et de l’économie informelle (dont près de 60% de femmes) organisés au Bénin, au Burkina Faso, en Guinée, au Mali et au Togo ont un revenu mensuel moyen supérieur ou égal au SMIG grâce aux initiatives d'économie sociale développées.  23.092 travailleurs à statut précaire dont 49% de femmes bénéficient des prestations des Caisses nationales de sécurité sociale et des services d'assistance sociale grâce à la connaissance des procédures et à l’accompagnement (Bénin, Burkina Faso, Guinée, Mali et Togo).  157.942 travailleurs ruraux, domestiques et de l'économie informelle (dont 52% de femmes) bénéficient des soins et services de santé de base grâce à 93 mutuelles de santé créées ou renforcées: 39 au Bénin, 20 au Burkina Faso, 12 en Guinée et 22 au Mali.  Le programme a contribué également à une meilleure égalité de genre dans l’accès au droit à la protection sociale : 68 % de jeunes formés et 70% jeunes ayant eu accès un emploi formel ou à un stage professionnel sont des filles. Plus de 60% de producteurs ruraux et de l’économie informelle ayant un revenu au moins égal au SMIG sont des femmes. 70% de personnes touchées par les actions d’éducation à la santé sont en moyenne des femmes et 60% de personnes prises en charge sont aussi des femmes. Quant à la prise de décisions, les femmes représentent plus de 65% des membres des organes de structures de base et fédérative des groupements de producteurs et transformateurs et environ 32 % des membres des organes dirigeants ou des mutuelles de santé ou des syndicats.  4 organisations d’économie sociale développement des actions visant la promotion de l’énergie renouvelable et intègrent la protection de l’environnement dans les formations sur la sécurité alimentaire, d’autres dans l’éducation à la santé. (Bénin, Mali, Guinée, Burkina Faso)  Les plateformes nationales (réseaux nationaux multi acteurs de droit à la protection sociale qui portent les synergies politiques et thématiques) sont opérationnelles depuis 2014 dans chaque pays et sont impliquées dans les cadres de concertation au niveau national (exemple conception et mise en place des régimes d’assurance maladie univereselle).  Un réseau zonal multi-acteurs de droit à la protection sociale regroupant 63 organisations, dont 15 organisations partenaires de WSM a été mis en place, doté d’un comité de concertation, de coordination et de facilitation de 5 membres représentants les réseaux nationaux pour des rencontres d’apprentissage une fois l’an"