CERF - Contribution 2019 to the humanitarian fund « Central Emergency Response Fund »

La contribution de la Belgique au CERF depuis 2006 s’élève à 148,809,010 USD, dont 25.000.000 EUR sur la période 2017-2018 (12.500.000 EUR par an). A l’heure actuelle, la Belgique se positionne à la 8ème place dans le classement des donateurs du CERF. Vu l’augmentation et l’ampleur des crises humanitaires, le CERF doit faire face à une demande accrue de financements. Lors du World Humanitarian Summit (mai 2016), la communauté internationale, dont la Belgique, s’est exprimée en faveur d’une augmentation du financement du CERF à hauteur d’1 milliard USD, un objectif aussi soutenu par le SG et par l’AGNU (Annexe 9, page 2). Ce financement reste dès lors particulièrement pertinent. L’importance de ce type de fonds flexibles est capitale en vue de fournir une réaction rapide, flexible et coordonnée, sans devoir attendre que les bailleurs réagissent individuellement. Il est dès lors proposé d’augmenter la contribution belge au CERF à 17.000.000 EUR par an. Cette augmentation est cohérente avec la position belge vis-à-vis la plus-value des mécanismes de financement rapides et flexibles tels que le CERF, avec notre soutien au CERF dans sa croissance vers 1 milliard USD ainsi qu’avec notre participation stratégique à l’Advisory Group. Les objectifs du CERF sont de : (i) promouvoir une action et une réponse rapides pour réduire les pertes en vies humaines ; (ii) renforcer les interventions lorsque le facteur temps est décisif ; (iii) renforcer les interventions humanitaires sous-financées (crises oubliées).

Les objectifs du CERF sont de : (i) promouvoir une action et une réponse rapides pour réduire les pertes en vies humaines ; (ii) renforcer les interventions lorsque le facteur temps est décisif ; (iii) renforcer les interventions humanitaires sous-financées (crises oubliées).

Les objectifs du CERF sont de : (i) promouvoir une action et une réponse rapides pour réduire les pertes en vies humaines ; (ii) renforcer les interventions lorsque le facteur temps est décisif ; (iii) renforcer les interventions humanitaires sous-financées (crises oubliées).