Gouvernance locale de l'eau dans 5 communes du Nord-Bénin - phase II van HAADI-Nord - (GLEauBe)

contribuer à la sécurité ailmentaire des populations vulnérables dans 5 communes de l'Atacora/Donga Voir programme description

Amélioration durable de l'accs a l'eau, de sa valorisation, et des comportements en matière hygiène et d'assainissement par une meilleure gouvernance locale de la ressource eau dans 5 communes de l'Atacora/Donga

Une série d’enquêtes ont été menées en février 2015 dans un échantillonnage des ménages bénéficiaires des actions du projet, dans chaque commune d’intervention 4 villages ont été choisis et dans chaque village 5 ménages ont été choisis au hasard soit 100 ménages sélectionnés. Objectif général : contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire via 3 indicateurs : 1) L’augmentation des revenus : augmentation prévue : + 25%, augmentation réalisée en fin de projet : + 67% Plusieurs facteurs externes au projet influencent considérablement cet indicateur : la pluviométrie et la production du coton 2) L’augmentation de la disponibilité – diminution de la période de soudure : diminution prévue presqu’égale à celle qui a été atteinte (1,25 mois – 5 semaines) 3) Indice de pauvreté humaine : valeurs non disponibles pr 2014 Objectif spécifique : amélioration durable de l’accès à l’eau, de sa valorisation et des comportements en matière d’hygiène et d’assainissement par une meilleure gouvernance locale de la ressource eau 1) Indicateur sur la disponibilité en eau potable : nombre des personnes desservies en eau potable : prévu = 15.000 personnes supplémentaires : atteint au total. Quand on regarde pour chacune des 5 communes : 3 communes bénéficient effectivement de d’avantages de points d’eau mais pour 2 communes, l’augmentation n’est pas atteinte. Cela s’explique par un problème constaté dans la méthode de calcul. La baisses dans les 2 communes est dûe à un défaut d’entretien et de maintenance des infrastructures d’eauµ 2) Bénéfices monétaires liés au maraîchage de contre-saison : prévu : 300.000 FCFA par ha et atteint pour 3 spéculations dominantes : 1.850.000piment ; 3.250.000 gombo, 4.300.000 tomate. Mais les variations d’un site à un autre sont grandes qui s’explique pas : la disponibilité de l’eau qui varie selon les sites, le moment du démarrage de la campagne, le lieu de vente des produits et donc le prix. 3) Changement de comportement en terme d’hygiène et d’assainissement : indicateur sur l’usage de latrines familiales améliorées : pas de données pour 2014. Pour 2013, 1 commune a augmenté de 15 à 27% et l’autre a légèrement diminué. Ceci s’expliquerait pas l’accroissement de la population et « l’abandon par les populations de l’approche de promotion de l’hygiène et de l’assainissement ».