General information

Title
Programme d'Appui aux initiatives de développement des communes de Kisenso & Kimbanseke (PAIDECO KIN)
ID
XM-DAC-2-10-3000560
CRS ID
RDC0504411-RDC0504401
Start date
End date
Activity status
Completion
Budget
€6.792.657
Actor
Enabel - the Belgian development agency
Country
CONGO (DEMOCRATIC REP.)
Sector
Government and civil society - Decentralisation and support to subnational government
Policy markers
Gender 1
Good Governance 1
Aid type
Project-type interventions
Priority partner country
Yes
Fragile state
Yes
Least developed country
Yes
Budgetline
54 17 356050 BSF
Finance type
GRANT
Tied status
No
Flow type
ODA
Province
Kinshasa
Tags
Private Sector Dev.
Body

General

« Contribuer à la reconstruction institutionnelle, économique et sociale de la ville de Kinshasa ». Il s'agit de la seconde phase du projet « Fonds Social Urbain de Kinshasa » qui a démarré en novembre 2001 et qui s'est terminé fin décembre 2005. Dans cette seconde phase, il a semblé important de continuer à soutenir et à accompagner la commune de Kisenso, afin de consolider les acquis de la première phase ainsi que d'étendre le projet dans une nouvelle commune de Kinshasa : Kimbanseke.

Results

« Améliorer durablement les conditions de vie des populations à travers la promotion d'une bonne gouvernance locale dans les communes de Kisenso et Kimbanseke ».

Other

Une évaluation à mi-parcours de ce projet a été réalisée. Le rapport est daté du mois d'août 2008. Rapport finall: En terme d'impact, « il est très clair que le niveau de notre intervention est relativement modeste au regard de la dimension de la population et du territoire concerné et par conséquent notre impact est réel mais limité. 1. Pour commencer, l'un des domaines où nous pouvons affirmer sans crainte de nous tromper que nous avons et nous aurons un impact direct et indirect réel est celui de notre investissement dans les infrastructures communales : (a.) non seulement nous avons sur Kisenso réalisé la totalité des infrastructures prévues mais même sur Kimbanseke, beaucoup plus grand, notre investissement à été massif aussi bien au niveau communal que des bureaux de quartier. (b.) en dehors de l'investissement de l'union européenne sur un premier bâtiment communal à Kimbanseke, nous sommes les seuls à intervenir dans ce secteur et nous sommes connus et appréciés pour cela. (c.) l'impact de ces investissements sur les conditions de travail et de vie des agents de l'administration, sur l'image qu'ont les habitants de leur gouvernement local et les agents de leur propre administration, sur l'amélioration des relations de proximité entre les citoyens et les services administratifs est réel, ne serait parce qu'auparavant les citoyens était reçu sous les arbres où dans un container surchauffé faisant office de bureau. 2. Notre investissement dans le domaine de la lutte anti érosive à été massif et global sur la commune de Kisenso et dans la continuité de ce qui à été réalisé par le FSU. Notre investissement ne peut être considéré que comme un palliatif dans ce domaine, mais nous constatons que l'évaluation externe locale réalisée sur les 4 quartiers à été très positive. 3. Notre investissement sur la Commune de Kimbanseke en matière d'aménagement de marché est conséquent puisque celle-ci comptait 4 grands marchés dont aucun n¿était aménagé avant notre arrivée et qu'à la fin du projet nous avons d'une part viabiliser le marché Nganpani en construisant d'une part un collecteur et d'autre part en achevant les travaux concernant les latrines et le bureau du marché, et aménager le grand marché Ngandu. A ce niveau notre impact qui concerne donc 50% des infrastructures de marché de la Commune, aura concerné l'amélioration des conditions de ventes des produits pour au moins 950 vendeuses et vendeurs (dont 600 à Ngandu), améliorer la possibilité pour la Commune de percevoir des taxes et impôts à partir de ce marché (légitimité accrue pour percevoir des taxes en échange d'un vrai service). 4. Notre investissement en matière de mise en place d'une mutuelle de santé aura permis, à 1 202 personnes bénéficiaires de consulter pour maladie les centres de santé et les hôpitaux à moindre coût, depuis la création de la MUSAKI. Le nombre de bénéficiaires en ordre de cotisation était à peine 1 % de la population, soit 2 % des chefs de ménages. Par conséquent, au vu du rythme d'accroissement net observé en 2009, nous pensons que cette mutuelle pourrait atteindre 4 600 personnes, soit environ 2 % de la population d'ici 3 ans. Le point faible actuel est le nombre de personnes à charge par adhérent, très en dessous des prévisions de 3 personnes par adhérent. 5. Notre investissement en matière scolaire à Kimbanseke aura permis sans conteste à environ 4% de la population scolaire d'étudier dans de meilleures conditions, ainsi qu'aux enseignants concernés de faire leur travail avec un peu plus de motivation et de facilité, et aux directions des 12 établ

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