Emergency Response Funds (ERF) pour la Turquie - OCHA

12,2M de Syriens nécessitent une aide d’urgence, dont environ 7,6 millions sont des personnes déplacées et 4,8M se trouvent dans des zones difficiles d’accès (à partir de Damas), en ce inclus 440.000 dans des zones assiégées. L’ampleur des besoins humanitaires est écrasante dans toutes les régions du pays. Les priorités immédiates sont le traitement et l’évacuation des blessés, ainsi que l’organisation d’une aide alimentaire, d’un accès à l’eau, de soins de santé, d’abris, de sanitaires et d’une hygiène de base. Le conflit a également généré près de 4M de réfugiés qui ont afflués dans les pays voisins et particulièrement impactés le Liban et la Jordanie, qui sont au bord de l’asphyxie, ainsi que la Turquie. Lors de la mission de terrain de l’OCHA Donor Support Group dans la région affectée par la crise syrienne, et à laquelle D2.1 a participé, le financement des ERFs (Emergency Response Funds) a été largement salué par leurs bénéficiaires et en particulier par les ONG nationales (en ce inclus les ONG syriennes) qui bénéficient non seulement de contributions financières de ces fonds mais également d’un renforcement de leurs capacités par OCHA. En plus d’être des instruments flexibles, adaptés au contexte grâce à leur décentralisation (4 fonds permettant des financements adaptés à 4 contextes différents : Syrie, Turquie, Jordanie et Liban), et permettant un renforcement des forces vives locales, ces fonds offrent une bonne visibilité à la Belgique qui fait partie de leurs plus grands donateurs. ./..

12,2M de Syriens nécessitent une aide d’urgence, dont environ 7,6 millions sont des personnes déplacées et 4,8M se trouvent dans des zones difficiles d’accès (à partir de Damas), en ce inclus 440.000 dans des zones assiégées. L’ampleur des besoins humanitaires est écrasante dans toutes les régions du pays. Les priorités immédiates sont le traitement et l’évacuation des blessés, ainsi que l’organisation d’une aide alimentaire, d’un accès à l’eau, de soins de santé, d’abris, de sanitaires et d’une hygiène de base. Le conflit a également généré près de 4M de réfugiés qui ont afflués dans les pays voisins et particulièrement impactés le Liban et la Jordanie, qui sont au bord de l’asphyxie, ainsi que la Turquie. Lors de la mission de terrain de l’OCHA Donor Support Group dans la région affectée par la crise syrienne, et à laquelle D2.1 a participé, le financement des ERFs (Emergency Response Funds) a été largement salué par leurs bénéficiaires et en particulier par les ONG nationales (en ce inclus les ONG syriennes) qui bénéficient non seulement de contributions financières de ces fonds mais également d’un renforcement de leurs capacités par OCHA. En plus d’être des instruments flexibles, adaptés au contexte grâce à leur décentralisation (4 fonds permettant des financements adaptés à 4 contextes différents : Syrie, Turquie, Jordanie et Liban), et permettant un renforcement des forces vives locales, ces fonds offrent une bonne visibilité à la Belgique qui fait partie de leurs plus grands donateurs. ./..

12,2M de Syriens nécessitent une aide d’urgence, dont environ 7,6 millions sont des personnes déplacées et 4,8M se trouvent dans des zones difficiles d’accès (à partir de Damas), en ce inclus 440.000 dans des zones assiégées. L’ampleur des besoins humanitaires est écrasante dans toutes les régions du pays. Les priorités immédiates sont le traitement et l’évacuation des blessés, ainsi que l’organisation d’une aide alimentaire, d’un accès à l’eau, de soins de santé, d’abris, de sanitaires et d’une hygiène de base. Le conflit a également généré près de 4M de réfugiés qui ont afflués dans les pays voisins et particulièrement impactés le Liban et la Jordanie, qui sont au bord de l’asphyxie, ainsi que la Turquie. Lors de la mission de terrain de l’OCHA Donor Support Group dans la région affectée par la crise syrienne, et à laquelle D2.1 a participé, le financement des ERFs (Emergency Response Funds) a été largement salué par leurs bénéficiaires et en particulier par les ONG nationales (en ce inclus les ONG syriennes) qui bénéficient non seulement de contributions financières de ces fonds mais également d’un renforcement de leurs capacités par OCHA. En plus d’être des instruments flexibles, adaptés au contexte grâce à leur décentralisation (4 fonds permettant des financements adaptés à 4 contextes différents : Syrie, Turquie, Jordanie et Liban), et permettant un renforcement des forces vives locales, ces fonds offrent une bonne visibilité à la Belgique qui fait partie de leurs plus grands donateurs. ./..